Les réflexes archaïques sont des réactions automatiques que le bébé va explorer et acquérir par la répétition de mouvements. Lorsqu'ils sont contrôlés, ces réflexes archaïques disparaissent, on dit qu'ils sont "intégrés".

Ils sont, pour l'être humain, à la base du bon développement :

           - comportemental  : posture, motricité fine et globale, coordination...

           - émotionnel : confiance en soi, impulsivité, relationnel...

           - cognitif : lecture, raisonnement, attention, mémorisation...

Les réflexes involontaires peuvent persister avec des causes ayant lieu :

            - pendant la vie intra-utérine : perturbation médicale ou émotionnelle

            - au moment de l'accouchement : césarienne, prématuré, déclenchement...

            - au cours de la 1ère année de vie : tout ce qui gène la réalisation de mouvements avec les trotteurs par exemple, mais aussi toutes les violences éducatives, les écrans...

Ils peuvent aussi réapparaître à la suite d'un stress, de la sédentarité... chez l'adulte.

Ces réflexes archaïques non intégrés engendrent alors des parasitages dans le corps qui posent problème dans l'équilibre de la personne, les apprentissages et la pratique de sports entre autres car ils surchargent le système nerveux.

Sous stress, les réflexes archaïques sont encore plus difficiles à contrôler.

         Le kinésiologue, en plus d'identifier le réflexe non intégré, va pouvoir le mettre en lien avec l'émotion et/ou la raison qui a fait que celui-ci ne l'est pas. Il pourra ensuite l'intégrer grâce à une équilibration spécifique au réflexe concerné.

Cette méthode est adaptée aussi bien aux enfants qu'aux adultes et permet d'obtenir des résultats surprenants selon la thématique abordée.

La kinésiologie n'établit aucun diagnostic, ne se substitue pas à un suivi médical, ne demande en aucun cas l'arrêt d'un traitement, mais peut être complémentaire !